"La chronique du Fourbe" (le blog de Pangloss,le monde.fr)

Publié le par DA Paris 15

Extraits:
"On savait bien que le Fourbe avait une tête à claques, mais depuis quelques temps, elles s’abattaient sur lui en escadrilles.

La dernière en date étant ce camouflet que les juges lui infligeaient en relaxant son ennemi Galouzeau le Fol, ce qui l’avait rendu fou de rage.

 

v_7_ill_1298656_10013001_plantuunpl_web.1264860995.jpg

Ce croc de boucher qu’il aiguisait patiemment depuis six ans, ne servirait donc à rien ?

Dans une nouvelle crise d’hystérie, le Fourbe avait sommé son procureur Marin d’interjeter appel, en toute indépendance, pour que l’on remît Galouzeau sur le gril.

Mais, ce faisant, montrait sa haineuse bêtise qui renforçait Galouzeau en le posant en victime expiatoire, ce dont il savait merveilleusement jouer.

300x200_1422510_0_6942_ill-802718-sarkovillepindouste.1264861200.jpg

Les gazetiers étrangers ne s’y étaient pas trompés, qui parlaient d’un revers politique majeur pour le Fourbe.

Quelques jours avant ce coup de massue, le Fourbe s’était invité dans les étranges lucarnes, où la belle Lolo Ferrari lui donnait la gougoutte en posant les questions dont chacun connaissait la réponse.

h_3_ill_1296477_10012601_plantuunpl_web.1264861293.jpg

le bateleur Pernaud qui lui avait servi à boire, en lui amenant quelques bons apôtres triés sur le volet.

Et ces braves gens de lui conter leurs misères.

Et le Fourbe de leur brosser le poil.

Ça c’est bien vrai, ma bonne dame, vous avez bien raison.   

abondant dans le sens de chacun, caressant le pis de la vache et la retraite du rentier.

Et de jurer, la main sur le cœur, que, lui vivant, personne n’abaisserait les retraites !"



Dame Bachelot, la supposée ministre des apothicaires et de la santé, avait capitulé sans conditions, et en rase campagne, devant le désastre de la non-vaccination de masse.

dsc07379.1264863193.JPG


Elle avait bien décommandé en urgence la moitié des vaccins, mais les apothicaires entendaient bien être dédommagés, d’un façon ou d’un autre.

Devant l’énormité du stock restant, on en était réduit à la grande braderie.

Qui paierait le désastre ? devinez, braves gens…"

"Là-dessus, n’écoutant que ce qu’ils voulaient entendre, tout Solférino se lève comme un seul homme, Martine du Ch’nord en tête, et plonge la tête la première dans la trappe ainsi tendue.Les barons Huguenots n’étaient jamais autant unanimes, que quand il fallait taper sur un des leurs, et de toutes leurs forces.

 dsc07541.1264862035.JPG 

Et de renchérir, drapés de vertu outragée : c’est une honte, un scandale, notre bon Fabius, la chair de notre chair, a été ignominieusement agressé par ce nervi !".....


Pour lire la suite cliquer http://pangloss.blog.lemonde.fr/

 

Pour être informé des derniers articles, inscrivez vous :
Commenter cet article